à partir du 28 octobre, lorsque les froids commencèrent, la retraite des Fran?ais prit un caractère plus tragique. Le nombre des hommes gelés ou se chauffant à en mourir aux feux des bivouacs augmenta de jour en jour.
De Moscou à Viazma, on ne comptait plus que 36 000 hommes des 73 000, non compris la garde, qui pendant toute la guerre n'avaient