La seconde quinzaine de mars 1865, comme pour compenser l'hiver rigoureux qu'on venait de traverser, se montra presque printanière. Les arbres, bien qu'encore nus, commen?aient à perdre l'aspect désolé qu'ils prennent après la chute des feuilles, alors que novembre les enveloppe de son brouillard glacé. On sentait la vie, si longtemps suspendue, ra