C'est un grand et brusque passage de quitter Paris en ce beau moment pour la plage déserte; Paris alors éblouissant de ses jardins magnifiques et de ses marronniers en fleurs. Juin serait très-beau à la c?te si l'on s'y trouvait à deux, avant l'invasion de la foule. Mais, lorsque l'on y vient seul, le tête-à-tête avec la mer et la noble société de